Kal’Ouch est un lutin de la mer de sable, dans Balosa. Comme il était petit, même pour un lutin, il s’est envolé avec le vent. Chacun de nous a décidé d’une aventure triste ou joyeuse : soit il restait dans le ciel, soit le vent le laissait retomber.
Le vent qui le portait depuis son village le laissa retomber devant
une maison hantée. Il marchait petits pas par petits pas : une porte ! Soudain,
un fantôme ! C’était le fantôme du propriétaire. Kal’Ouch eut très peur. Il
prit une pierre, mais la pierre traversa le corps du fantôme. Celui-ci lui dit
:
- Kal’Ouch, aide-moaaah à chasser les fourmitors, les petits parasites, et en
échange je te donnerai des ailes magiques.
- Mais à quoi elles servent, demanda Kal’Ouch ?
- Elles servent à voler à la vitesse du vent.
- D’accord, répondit Kal’Ouch.
Il chercha les fourmitors et trouva leur nid. Il prit une épuisette, les parasites
coupèrent quelques fils, mais Kal’Ouch les jeta dehors.
Le fantôme lui donna les ailes magiques et Kal’Ouch s’envola avec le vent.
Il atterrit sur une montagne rocheuse, il l'escalada. Il vit
une grotte et y pénétra. En avançant, il aperçut un lutin du désert. Ce lutin
était très maigre, Kal'Ouch lui parla. Le lutin se réveilla et lui dit:
- Aide-moi s'il te plait. Je suis prisonnier d'un roi qui s'appelle le Roi Boisauninorminau.
- Comment tu t'appelles? lui demanda Kal'Ouch.
- Bravi, lui répondit-il.
- Je vais t'aider, dit Kal'Ouch.
Il s'arrêta devant la pyramide du roi, il y avait des gardes à l'entrée, mais
pas du côté du sous-sol. Il y entra, mais il ne savait pas qu'il y avait des
pièges. Il marcha sur une pierre, un piège se déclencha: une immense boule de
granit roula derrière lui. Il courut et un trou avec des pointes en métal apparut.
Il prit une liane et sauta. Il avança jusqu'à un sarcophage, une momie vivante
sortit, mais Kal'Ouch comprit que c'était une fausse momie. Il la déroula, c'était
un lutin voleur. Kal'Ouch lui dit:
- Pourquoi te déguises-tu comme ça ?
- Pour faire peur, mais tu n'as pas eu peur, je te donne donc mon épée d'or.
Au revoir !
Kal'Ouch prit les clés de la prison de Bravi, retourna dans sa grotte et le
délivra.
Anthony
Le vent, qui le portait
depuis son village, le laissa retomber près d'une immense et belle maison. De
l'or partout par terre en entrant ! Un immense couloir, une belle fille au fond.
Il avança, avança jusqu'à cette merveilleuse beauté. Elle lui dit :
- Bonjour, je m'appelle Laetitia. Je vis ici. Voulez-vous de l'or ?
Kal'Ouch lui dit d'une voix hésitante :
- Bonjour, je m'appelle Kal'Ouch,
avant de vous dire oui, je voudrais en savoir un peu plus sur vous. Elle lui raconta sa vie. Elle était toute seule dans cette maison, cette merveilleuse construction. Elle était là pour ceux qui veulent passer une épreuve. - Et toi, veux-tu passer l'épreuve ? Il ne voulait pas passer l’épreuve mais il lui demanda si il pouvait vivre avec elle. Elle lui dit : - Oui tu as réussi l’épreuve Ils vécurent heureux quelque temps, jusqu’à ce que le vent le reprenne sur son dos. Justine |
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Le vent le déposa près d’un lit de rivière asséché. Il le traversa
et se retrouva dans une prairie de roses des sables. Cette prairie était pleine
de couleurs. Il y rencontra son double qui était méchant. C’était un robot qui
avait été créé par la Poussière des sables. Il avait prévu de détruire son village,
mais Kal’Ouch n’avait pas envie d’avoir un tel double robot.
En marchant, il déclencha un mécanisme qui fit sortir un cactus. Il y avait
écrit comment détruire son double : trouver son point faible, appuyer très fort
jusqu’à ce qu’on entende "clic".
Il le détruisit et le vent le reprit sur son dos.
Clément
Le vent qui le portait,
fit cogner Kal’Ouch sur un dinosaure et il tomba dans un endroit où les gens
chassaient avec des lances en silex.
Il se fit des amis et joua une heure. L’un d’eux demanda s’il voulait aller
à la chasse.
Il alla avec eux, tua un bébé dinosaure et trois moutons. Les gens étaient très
contents.
Mais il y avait un gros dinosaure qui voulait l’attaquer parce que Kal’Ouch
avait tué son bébé.
Le dinosaure l’avala tout cru. Tout le monde croyait qu’il était mort.
Mais il avait une lance, l’enfonça dans la gorge du dinosaure. Il sortit en
tranchant la peau et les os.
Pendant ce temps, d’autres dinosaures, les frères du premier, mangèrent tout
le monde, mais Kal’Ouch ne le savait pas. Il pensait qu’ils s’étaient cachés
ou étaient partis. Il chercha partout, partout et il s’aperçut que les cinq
dinosaures les avaient avalés. Le vent le repris alors sur son dos.
Loïck
Le vent qui le portait sur son dos le laissa tomber devant un
géant. Le géant marcha sur Kal'Ouch. Le lutin essaya de sortir du trou du pas
du géant et regarda devant lui, il vit la maison du géant.
Sorti du trou du géant, Kal’Ouch essaya d’ouvrir la porte. Elle était fermée
à clef. Le lutin passa par la fenêtre entrouverte, il but la soupe, puis il
alla dans le lit du géant.
Le géant, revenu de sa promenade, vit sa soupe et but ce qu’il restait. Il vit
Kal’Ouch dans son lit, le cogna, le jeta par la fenêtre. Et le vent le reprit
sur son dos.
Nathalie
Le vent qui le portait
le laissa retomber sur une montagne de neige. Kal’Ouch croisa des paysans avec
des skis en bois. L’un d’eux lui dit :
- Comment tu t’appelles ?
- Kal’Ouch, et toi ?
- Pierre. Je te donne ces skis, ce sera un souvenir.
Kal’Ouch faisait du ski, une grande tornade arriva. Il n’arriva plus à s’arrêter,
des flocons de neige tombaient et ça glissait de plus en plus. Il tourna en
rond dans la tornade et tomba malade.
Des lutins vinrent le chercher, ils l’emmenèrent dans une auberge pour le soigner.
Une semaine plus tard, les lutins attendaient et, enfin, les yeux de Kal’Ouch
s’ouvrirent. Il voyait tout flou. Un docteur lui dit qu’il devait porter des
lunettes. Il fit très attention à ses nouvelles lunettes. Puis le vent le repris
sur son dos, ses lunettes tombèrent : il voyait très bien.
Jennifer
Le vent qui le portait depuis son village le laissa retomber dans
un désert inconnu. Juste devant lui, un grand château. Il frappa à la porte
et une fée lui ouvrit en lui demandant d’où il venait. Kal’Ouch lui raconta
son histoire.
- Qu’est-ce que tu veux, lui demanda la fée ?
- Je voudrais dormir ici.
- D’accord, mais dans ce château, il y a aussi un dragon qui vient toutes les
nuits.
Kal’Ouch n’avait pas peur du dragon, il alla dans la chambre et s’endormit.
Soudain, il entendit un hurlement. C’était sûrement le dragon !
Il ouvrit la porte, le dragon était en face. Kal’Ouch utilisa la poudre qui
endort que son papi lui avait donnée et la lança sur le dragon. Il vit la baguette
de la fée, alla chercher le livre de formules magiques et la récita : « Abra
qada broume que ce dragon meure ! »
Et le dragon mourut et se transforma en prince. La fée se réveilla et sortit
de sa chambre en princesse. Ils se marièrent.
Kal’Ouch repartit sur le vent, le couple était tellement amoureux qu’il ne s’en
rendit même pas compte !
Julie
Dans les airs, Kal’Ouch
entendit qu’il existait une crosse magique, il décida de la chercher. Il tomba
dans du sable mouvant et cria « Au secours ! » Une sirène arriva et elle sortit
Kal’Ouch. Il lui demanda « Est-ce que tu peux me dire où se trouve la crosse
magique ? » Puis la sirène lui dit : « Il faut que tu combattes la pieuvre.
»
Kal’Ouch avança, trébucha et réveilla la pieuvre. Il la fouetta et la pieuvre
mourut. Kal’Ouch tomba sur un nid de pieuvres et les attaqua avec son fouet.
Il vit une lumière briller. Il courut mais une pieuvre l’attrapa . Kal’Ouch
la fouetta et arracha la tentacule de la pieuvre et prit la crosse.
La sirène revint et Kal’Ouch remonta à la surface.
Vincent
Kal’Ouch courrait dans les dunes, il était heureux. Mais un tout
petit lutin lui dit dans une langue étrangère « Comantutapel ? » « Je ne te
comprends pas » dit Kal’Ouch. Le lutin montra une grande dune avec son doigt,
Kal’Ouch le remercia, puis il alla voir derrière la dune et il vit un village.
Kal’Ouch entra dans le très joli village, il rencontra un petit vieux mal à
l’aise. Kal’Ouch lui demanda : « Comment s’appelle ce village ? » Le vieux lui
dit dans sa langue :
- WeeKenD. Mais dis donc, mon petit monsieur, qui es-tu ? - Je me nomme Kal’Ouch. - Que fais-tu ici, mon bonhomme, lui dit le vieux ? - Je suis tombé sur ce très joli village, lui répondit Kal’Ouch. - C’est le plus beau de Balosa, lui raconta le vieux. - Mais pourquoi s’appelle-t-il WeeKenD, reprit-il ? - Parce que c’est tous les jours le week-end, mon enfant. - Merci monsieur. Il alla se promener au village, puis il entendit « Venez pour voir notre match de crosse. Il nous manque un joueur. Si il y a quelqu’un de volontaire, venez ! » Kal’Ouch courut voir l’entraîneur et dit : « Moi, je suis volontaire ! » « D’accord, chaussez-vous. » L’équipe de Kal’Ouch remporta le match et gagna la coupe. Il repartit tout heureux en offrant sa coupe au vieux. Clémentine |
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Kal’Ouch marchait sur
le sable brûlant du désert. Il entendit une forte explosion, c’était une guerre
qui se préparait. En allant voir le chef d’une des armées, il vit des chèvres.
Le petit lutin demanda pourquoi ils avaient des chèvres à la place des chevaux.
- Parce qu’elles ont un estomac dur comme la pierre et elles peuvent avaler
le poison de leurs prédateurs, répondit le général.
- Mais pourquoi êtes-vous en guerre ?
- Nous sommes les Elleraga. Les Iraga veulent nous détruire. Ils voulaient prendre
nos chèvres puis détruire tous les villages sur leur passage pour les conquérir,
puis les reconstruire. Il y a eu une grosse explosion qui nous a fait perdre
cinquante soldats.
- Est-ce que l’autre armée a des chèvres aussi ?
- Oui, mais ce sont des chèvres qui ont un estomac très solide, qui peuvent
manger des soldats et lancer du poison sur leurs prédateurs.
Là, Kal’Ouch eut un plan : il demanda quel était le point faible des chèvres
d’Iraga. Le chef répondit :
- Il faut leur arroser l’intérieur de la bouche et elles ne pourront plus lancer
de poison.
Le lendemain matin à 6 heures, Kal’Ouch et le chef allèrent mettre de l’eau
dans la bouche des chèvres mangeuses de lutins. A dix heures, la bataille commença,
les chèvres ne purent plus lancer de poison, mais continuaient à manger les
soldats. Il restait aux Iraga une chance de gagner.
- Comment faire pour que leurs chèvres ne puissent plus manger les soldats ?
- Casser leurs dents.
Kal’Ouch lança des gros galets et leurs dents se cassèrent. Le chef des Iraga
dit :
- Nous n’avons plus besoin des chèvres, nous combattrons avec notre force.
Le chef des Elleraga et Kal’Ouch savaient comment faire pour rétablir leurs
chèvres, ils les rétablirent toutes et les chèvres mangèrent tous les soldats
ennemis, même le chef.
L’armée des cinquante soldats gagna. En récompense, le chef donna à Kal’Ouch
les chèvres de ses ennemis.
Puis, Kal’Ouch partit, avec les chèvres, sur le sable brûlant pour rentrer chez
lui.
Bastien
Kal’Ouch avançait inconsciemment car la chaleur l’éblouissait.
Il vit apparaître devant lui une petite maison. Il s’approcha, ouvrit la porte
et vit l’eau jaillir à sa figure. Il se sentit bien, mais cela ne dura pas.
Il se retrouva dans des oubliettes, toute joie avait disparu.
Complètement perdu, il voyait du sable, des dunes et une oasis. Il avança avec
beaucoup de courage. Arrivé à l’oasis, il jeta sa gourde en peau de snotlug,
il but sans même se soucier de ce qu’il buvait. Dès qu’il eut fini, il ouvrit
les yeux. Il n’y avait plus d’oasis, mais il y avait le mage du mirage qui lui
dit :
- Veux-tu arrêter ces mirages, Kal’Ouch ?
- Oui, répondit Kal’Ouch.
- Très bien, si tu veux arrêter ces mirages, tu devras passer deux épreuves.
1ère épreuve : trouver la feuille la plus verte du désert. 2ème épreuve : trouver
la pierre d’eau du temple de Panama’Al.
Le mage, avec sa longue barbe et sa tunique blanche comme de la craie, paraissait
gai.
Kal’Ouch trouva d’abord la feuille près de l’oasis des ancêtres lutins. Pour
y arriver, il dut marcher deux mois et combattre le dragon vert. En le tuant,
la feuille sortit de son ventre.
Il lui restait encore la pierre de Panama’Al. Il dut grimper le château haut
de 400 mètres. En haut de ce château immonde et sale, il ouvrit une gigantesque
porte en os de lutins - vu leur taille. Un œil rouge et vert surgit. Kal’Ouch
sortit son poignard et essaya de le crever, mais la bête esquivait. Au bout
de deux minutes, Kal’Ouch réussit enfin à la crever. Alors une fumée verdâtre
s’échappa et laissa sortir une ravissante femme avec la pierre.
- Comment t’appelles-tu, demanda Kal’Ouch ?
- Je m’appelle Panama’Al et comme tu m’as sauvée, la prophétie dit que je dois
te suivre jusqu’à ma mort, répondit-elle.
« Tu as réussi Kal’Ouch, je ferai souffler les vents pour qu’ils te ramènent
jusqu’à ton village », annonça le mage. Kal’Ouch vécu heureux avec Panama’Al
Quentin
Le vent le laissa retomber
devant le terrain de la crosse. Il alla voir et fut impressionné. Sans lui,
son équipe avait fait 42 points et l’équipe du nord 23. Le match était fini.
Il rentra à son village. La tribu mangeait une galette pour savoir qui serait
le chef. Ils proposèrent à Kal’Ouch de venir la manger avec eux. Kal’Ouch eut
la fève et maintenant il est le chef du village.
Mallaury M.